La Danseuse (suite)

La voici donc avant finitions, lissage et patine.

Comme vous le constatez, après le moulage qui n'a pas été totalement réussi, la demoiselle a perdu ses bras...

En souhaitant que les erreurs servent à améliorer l'expérience et ne se répètent pas...

Repos

Petite figurine en argile encore humide du travail d'hier et qui va sécher tranquillement pendant que je m'absente 15 jours. ...avec en principe, beaucoup d'idées au retour...mais surtout la grande expo annuelle de Mosaïque Arts plastiques à laquelle je présenterai  "le désespoir de Caïn".

La danseuse

 Challenge intéressant qu’une danseuse debout sur une pointe et aussi libre en apparence, qu’une vraie étoile. C’est ce que j’essaie en ce moment, avec l’intention de réaliser un tirage en résine, plus solide qu’un plâtre et plus adapté à ce genre d’acrobaties.

Voici quelques images en cours de travail sur potence, puis de la demoiselle finie, avant moulage (mais déjà amputée d’un bras et d’une jambe, car je n’avais pas pensé à faire des photos avant). On voit encore les restes d'armatures et tout ce qui aide à la mise en place et qu'on ne voit plus, une fois les pièces terminées.

Puis prête pour recevoir son sarcophage de plâtre et enfin, « enrobée » d’un côté et les membres enlevés déjà moulés.

Dernières nouvelles…

Après Sérénité, je me suis lancé dans la fabrication d’une sirène que je souhaitais réaliser en …chocolat afin de changer des traditionnels lapins et autres volatiles.

Le moule en élastomère alimentaire s’avéra être une catastrophe car l’élastomère mettait près de 24 heures à durcir et que pendant tout ce temps, il restait coulant, deux choses qui n’étaient absolument pas prévues et à laquelle je n’ai pas eu la sagesse de remédier après la première couche (il en faut 3…normales)

Comme un acte manqué ne se produit jamais seul, j’ai essayé de remplacer la vérane (un genre de grillage souple de renfort) qui me manquait par autre chose…ajoutant la faute à l’erreur.

Si j’ai pu récupérer l’original en terre qui sera cuit prochainement, le moule ne vaut rien, la finesse de certaines zones et la trop grande épaisseur d’autres ont entrainé des coupures où même le plâtre s’introduit goulument, rigidifiant le tout. Les spécialistes comprendront, pour les autres, c’est plus simple : il n’y aura de sirène en chocolat pour personne, le moule étant inutilisable, malgré plusieurs tentatives.

Par contre,  j’ai réussi à en faire autre un petit, tout simple, d’une petite tête classique, avec toutefois les mêmes défauts. il m’a permis de tirer enfin en chocolat….mais surtout, j’ai beaucoup appris pour une éventuelle prochaine fois.

Sirène en vue !

 Avec ma longue vue, j'ai repéré sur une belle plage deux sirènes qui prenaient le soleil .
On avance le printemps comme on peut...et ça change un peu des postures classiques ; surtout pour ce que j'ai en tête pour la suite.
Je prépare actuellement leur moule en élastomère un peu spécial, mais vous comprendrez mieux bientôt, quand tout cela sera prêt à être montré...

Miss Ka.

 

 

Encore un petit nu, sec mais pas encore cuit, en grès d'Irak.

Je rattrape mon retard et termine ce qui était en cours avant d'aborder un travail qui me tient à coeur : une danseuse . 

Ici, la terre est gris-noir mais les possibilités de la photo numérique lui ont offert une belle teinte que j'aimerais obtenir comme patine, comme un vieux bronze vert-de-gris. Mais on verra plus tard, près la cuisson...

Les deux amies

Modelage centré sur deux nus. Les variations à deux personnages sont multiples et offrent une grande richesse de composition. De la confidence à la complicité, toute une gamme de postures que je compte explorer prochainement.

Sérénité

Quand les sculpteurs parlent de noir de Belgique, ce n'est pas de chocolat qu'il s'agit. D'ailleurs, ils en parlent avec respect et émotion car le poli et le soyeux de cette pierre est magique. Un noir satiné d'une douceur au toucher et d'un aspect qui surpassent sans doute toutes les pierres dures.

Cent fois et encore cent fois et encore...il faut repasser les papiers de verre, du grossier jusqu'au plus fin (1000 à l'eau) jusqu'à obtenir ce fameux poli que rien n'égale. Certains vont même plus loin dans la finesse des papiers, mais je me suis limité au 1000.
Le résultat est une grande satisfaction et une grande crainte de la moindre rayure qui obligerait à tout reprendre.
Je dédie cette pierre à Marc T., grand maître du noir de Belgique qui m'a montré la voie. Avec respect.

Gros bonheur

Gros bonheur et belle fierté pour le mois de février : mon équilibriste a été choisi comme sculpture du mois par le site des sculpteurs : http://sculpture.forumactif.com/forum

Il restera pendant un mois pour orner la homepage et compte tenu du haut niveau des participants et des pièces présentées habituellement, je suis particulièrement flatté.

http://sculpture.forumactif.com/forum

Il sera également présent au Salon des Indépendants de Longjumeau, en fait plutôt c'est son jumeau en résine, que je viens de terminer il y a tout juste 15 minutes, qui y sera. Un mois bien chargé pour lui, donc.

Encore un petit nu...Miss Eve

 Pendant que l'ermite me fait des misères car il ne supporte pas les déplacements et qu'il n'est pas encore cuit, voici un petit nu en cours de travail, Miss Eve.
En cours de travail, alors que 3 autres jeunes et belles créatures s'impatientent sur leur sellette et que le socle en plâtre de mon équilibriste en résine est sur le radiateur pour sécher en catastrophe (il doit être patiné pour l'ouverture du Salon de Longjumeau, avant vendredi !).
Heureusement, je viens de polir un beau marbre noir, mais chut...ce sera pour le prochain post.

L'Ermite

L'Ermite, en terre blanche, 20 cm de haut, avant cuisson. Essayer d'être le plus proche de la Nature et essayer encore.

L'envol

Petite maquette de 20 cm de haut à refaire en plus grand en terre à cuire, ou plâtre pour une meilleure tenue car au moulage, les casses risquent d'être nombreuses.
Parti d'un essai de tête d'enfant, la suite est venue rapidement.
La photo a été retouchée pour une meilleure présentation.

Polychromie

Patine terminée. Bien que je préfère la version en plâtre brut, je dois reconnaître que celle-ci, qui a bien gagné en force et en présence, a aussi son charme quand elle est bien éclairée.

Pour pouvoir les comparer, voici la version brute :

Héron, héron petit patapon...

Première tentative avec du papier mâché, une technique, facile, économique et surtout très rapide. Presque un jeu d'enfant, encore que la première fois...
Le héron mesure ici 1,30 mètre, une belle taille qui le classe dans la catégorie des grandes variétés de l'espèce. Occasion aussi de faire du presque monumental et...très léger : moins de 2,5 kgs !

De vieux journaux (économiques de préférence), de la colle à papier peint (la moins chère) et une armature si possible (ici, des restes de fer à béton de 8 mm). Des fonds de pots de peinture et ça suffit. La preuve en image :

Les bonheurs de l'automne déjà en été...

Les champignons sont-ils une forme d'art ?
Oui sans conteste, car il n'est pas donné à tout le monde de savoir les cueillir, même si innombrables sont ceux qui les apprécient. De plus, ils participent à l'art de la table, du savoir boire et manger, de l'art de bien vivre, quoi !
Ce qui est une raison largement suffisante pour figurer ici, entorse estivale aux sujets habituellement présentés.

Après les grosses pluies de fin juillet, le 1er août vit des cueillettes de cèpes mémorables. Au point que le vendredi sur le marché tous les stands sans exception en présentaient, volaillers inclus, et à un prix abordable, démonstration simple de la loi du marché.
Nous les avons achetés (nous ne savons pas les cueillir et il vaut mieux dans ce cas s'abstenir) dès le premier jour, directement à la sortie de la forêt, où se tenait un marché du jour improvisé.

Ne sont-ils pas beaux ? Ici, dans le sud ouest, ils sont les seigneurs de la table, au point qu'on ne les appelle pas par leur nom commun de cèpe ou de bolet, mais on dit tout simplement : "le Champignon" et tout le  monde sait de quoi il s'agit, tout en niant savoir où on en trouve ou si la cueillette fut bonne. Surtout ne pas se faire piquer son coin et pour cela toutes les dissimulations sont bonnes. Et ça aussi, c'est tout un art !
 
 

Hommage sur iPad à Matisse, Ingres, Delacroix, Manet, etc.

Essai réalisé avec le logiciel de dessin Brushes pour découvrir ses possibilités et je me suis pris au jeu des transparences, calques et pinceaux...
Un passe temps facile et ludique, surtout par temps de pluie et la possibilité de compléter des photos et des projets en les coloriant.
Et Brushes, qui garde en mémoire toutes les étapes de votre travail, vous les présente ensuite sous forme d'animation. Il n'y a plus que le titre à insérer et voilà !

Masaï : oser la polychromie

Projet en cours de réalisation d'une sculpture polychrome, une femme Masaï et son enfant. La partie modelage en terre est terminée et avant de la couler, cette photo du modelage, coloriée, me permet de vérifier et d'anticiper la suite. Les couleurs devraient être moins claquantes, mais ce sera aussi une découverte lorsque cette étape arrivera.

Un poisson peut en cacher un autre...

Deux poissons en stéatite aux beaux reflets verts mais terriblement feuilletée, au point de s'être fendue et de m'avoir obligé à doubler le poisson original...

Caïn et Abel (re suite)

Ca avance... Encore quelques séances pour finir les personnages, puis le socle qui n'a pas été prévu dès le départ (une grosse complication à venir) et enfin la patine. Entre-temps les personnages ont bougé par rapport au projet initial, mais on verra tout ça après les vacances...

Petite dernière

Presque une photo en noir et blanc grâce à cette argile de modelage très claire pour un nu de 22 cm de haut.

Tout est dans l'image, il n'y a plus qu'à laisser sécher et cuire en septembre...