13 octobre, 2006

Celles que je regrette...

"Les femmes qu'on regrette le plus sont celles qu'on n'a pas eues" disait Marcello Mastroïani dans un de ses films.

Moi, je regrette des modelages et une sculpture qui ont disparus mais dont j'ai heureusement conservé une image...

Il faut dire que découvrant la sculpture et le modelage, j'ai voulu griller les étapes...

Mais il y a des règles à respecter quand on est débutant, même si on brûle d'avancer.

De mon premier modelage qui une fois moulé aurait dû donner un chat, il ne reste strictement rien. Depuis, j'ai décidé de photographier tôt chaque oeuvrette, car on ne sait jamais.

Je vais donc commencer en beauté par la fin ou presque : voici donc l'histoire double d'un modelage encore cru (donc fragile) et d'une sculpture en siporex.

C'était la première fois que j'utilisais le béton cellulaire, appelé généralement siporex. Une fois terminée l'espèce de cariatide, je l'avais mise au bout de l'établi et j'avais commencé à travailler une nouvelle pierre...
Là j'ai réussi coup double : en travaillant cette pierrre, du tavel bleu (j'aurais dû rester au Tavel rosé !), une pierre très dure genre silex, une vraie cochonnerie et dont on ne peut rien tirer, les vibrations ont fait tomber au bout de l'établi la sculpture en siporex, laquelle a chu sur le modelage posé sur un tabouret à proximité, juste en dessous...


Résultat : rien à récupérer, mais heureusement il reste les images de l'esclave en cariatide et du modelage :

Après ce test avec le siporex, matière très tendre; trop fragile et friable (ça flotte !), j'ai compris que la facilité n'est pas la solution et qu'il vaut mieux une matière dure si on veut que cela dure quelques temps...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

beaucoup appris